Balade d'automne (2)
Trouvailles au cours d'une très jolie promenade :
Des jardins familiaux au repos
De la vigne vierge aux couleurs magnifiques
Un arbre aux joues roses
Des jardins familiaux au repos
De la vigne vierge aux couleurs magnifiques
Un arbre aux joues roses
Et puis, en me baladant, j'ai eu très peur.
Avant tout j'ai vu mon 1' serpent.
Je n'ai pas eu le temps de dégainer mon appareil photo, qu'il m'avait déjà sauté dessus, je n'arrivais pas à détacher mon regard de ses hypnotiques yeux injectés de sang, je sentais son souffle froid dans mon cou, tandis que son corps se resserrait m'étouffant progressivement. Je n'ai eu que le temps de voir étinceler ses crocs tels des pieux acérés et emplis d'un poison dont nul ne s'est jamais réveillé avant qu'il ne file en quelques secondes dans les fourrés. Ce qui fait que je n'ai finalement pas pu le prendre en photo (le couard).
A peine remise de ces émotions, des bruissements dans les herbes hautes m'ont alertée. Il y avait quelqu'un, c'était sur. Un homme, sans aucun doute, assoiffé de sang, de MON sang, tapi, à l'affût d'une moindre défaillance de la frêle jeune proie que j'étais. N'écoutant que mon courage je décidais de faire front et de regarder en face celui par qui mon destin allait être irrémédiablement détruit, avec une pensée pour mes chers parents à qui l'ont ramènerait mon pauvre petit corps...
Enfin, puisque 2 malheurs n'arrivent jamais seuls, j'ai du croiser un troupeau de baignoires...
Heureusement qu'il y avait du fil de fer barbelé pour contenir leur agressivité sans commune mesure...
Avant tout j'ai vu mon 1' serpent.
Je n'ai pas eu le temps de dégainer mon appareil photo, qu'il m'avait déjà sauté dessus, je n'arrivais pas à détacher mon regard de ses hypnotiques yeux injectés de sang, je sentais son souffle froid dans mon cou, tandis que son corps se resserrait m'étouffant progressivement. Je n'ai eu que le temps de voir étinceler ses crocs tels des pieux acérés et emplis d'un poison dont nul ne s'est jamais réveillé avant qu'il ne file en quelques secondes dans les fourrés. Ce qui fait que je n'ai finalement pas pu le prendre en photo (le couard).
A peine remise de ces émotions, des bruissements dans les herbes hautes m'ont alertée. Il y avait quelqu'un, c'était sur. Un homme, sans aucun doute, assoiffé de sang, de MON sang, tapi, à l'affût d'une moindre défaillance de la frêle jeune proie que j'étais. N'écoutant que mon courage je décidais de faire front et de regarder en face celui par qui mon destin allait être irrémédiablement détruit, avec une pensée pour mes chers parents à qui l'ont ramènerait mon pauvre petit corps...
Enfin, puisque 2 malheurs n'arrivent jamais seuls, j'ai du croiser un troupeau de baignoires...
Heureusement qu'il y avait du fil de fer barbelé pour contenir leur agressivité sans commune mesure...